Maud Osostowicz, C.S., praticienne de la Science Chrétienne
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L’art de bénir

25/3/2015

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Notre voiture est arrêtée à un feu rouge, une jeune femme traverse devant nous et mon amie, assise à côté de moi, s’exclame à ma grande surprise : «  mais regarde comme elle
est belle ! » Je suis complètement abasourdie en l’entendant, car au même moment je pense exactement le contraire ! Mon amie continue : « Regarde ses beaux yeux vert et
ses cheveux… » Mon amie est sous le charme et pour ma part au   contraire je n’aime pas du tout cette  jeune femme !

Je m’interroge alors : pourquoi cette répulsion face à cette personne ? En réfléchissant
 je m’aperçois que j’ai été « éduquée » à réagir ainsi.

Je m’explique : lorsque j’étais enfant dans les années soixante, pour aller à l’école il fallait traverser un quartier habité par des algériens – nous étions en plein dans la guerre d’Algérie. Ma mère me tenait alors fortement la main et pressait le pas. Du coup, j’ai interprété cette attitude : il fallait se méfier, ces personnes n’étaient pas fréquentables, nous n’étions pas en sécurité.
Assise dans la voiture je m’aperçois que j’ai gardé, sans m’en rendre compte, cette
"aversion" pour ces personnes ! Je n’aurai jamais su que je pensais ainsi, si mon amie n’avait fait cette réflexion. Quel choc ! Mais quel réveil aussi !

Nous n’avons peut-être pas toujours la possibilité d’avoir ce genre d’expérience pour découvrir ces jugements que nous entretenons, sans nous en apercevoir, pour telle ou
telle chose, telle situation ou telle personne. Alors quelle attitude avoir pour faire sauter les filtres qui nous empêchent de voir le divin en chaque être ?

Pratiquer l’art de bénir ! Attention cela ne signifie pas que je suis supérieure aux autres
et qu’à ce titre je peux bénir… non, non loin de là !

Bénir c’est reconnaitre le bien infini qui fait partie intégrante de la conscience universelle. C’est une manière de développer une conscience spirituelle constamment centrée sur le divin. C’est un outil, oh combien efficace, pour grandir en amour universel et ne pas juger.

Ne pas juger ! C’est souvent là le problème. Face à un collègue de travail, à un membre de notre famille, à tel évènement dans le monde, tout semble justifier le fait que l’entendement mortel aime juger, comparer, condamner, blâmer, critiquer, médire…

L’art de bénir consiste justement à prouver en nous appliquant à voir, penser, agir, parler et vivre comme l’expression du bien infini. Si nous nous contentons de mesurer, de comparer, de juger selon l’apparence matérielle, nous ne faisons qu’un travail négatif. La véritable mesure, c’est notre propre conscience du bien pour nous même et pour les autres.


« Dépouiller la pensée des faux appuis et des manifestations matérielles afin que les faits spirituels de l'être apparaissent, telle est la grande réalisation grâce à laquelle nous ferons disparaître le faux pour faire place au vrai. »
Mary Baker Eddy , Science & Santé p.428


© Antonioguillem - Fotolia.com



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Avancer pour agir … ou agir pour avancer ?

9/2/2015

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Photo© eugenesergeev - Fotolia.com

« Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction. »
Jean Rostand


Combien de fois pensons-nous et/ou acceptons-nous que nous ne sommes pas capable pour le moment de faire ceci ou cela. Qu’il nous est nécessaire de creuser un peu plus la question avant d’entreprendre quoi que ce soit. Cela semble logique et légitime…   mais en fait ce ne l’est pas du tout ! Pourquoi ?

Partir de cette prémisse, c’est en fait croire que nous pouvons agir grâce à notre capacité personnelle et à la volonté humaine. Parfois cela peut marcher malgré tout car on pense en savoir assez pour entreprendre. Mais se baser sur une vision humaine et limitée c’est souvent ce qui nous entrave et nous paralyse dans l’action à mener.

A l’origine de tout projet ou action se trouve d’abord une idée. Cette idée est générée par le Principe divin de l’univers qui créé et gouverne toutes choses. Cette idée est complète, parfaite et entière. Elle contient tout en elle-même y compris sa démonstration et sa mise en œuvre. Certainement dans un premier temps, nous ne voyons pas forcément tout le déroulement pour la mise en œuvre. Aaah ! Si on avait une boule de cristal…

Mais bon ! Ce n’est pas le cas, alors finalement il nous faut avancer pour agir et agir pour avancer en sachant que nous démontrons pas à pas les capacités infinies et illimités générées pas le Principe divin qui nous gouverne, nous maintient et nous inspire.


Nous devons porter nos regards là où nous voudrions diriger nos pas et agir
comme possédant tout pouvoir de Celui en qui nous avons notre être.

Mary Baker Eddy, Science et Santé p. 264



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L’art du possible

13/11/2014

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Oui, je suis d’accord avec vous, un éléphant marchant sur une corde n’est pas dans le domaine du possible, mais c’est une jolie image pouvant symboliser l’art du possible. Je m’explique.

Il y a 20 ans des chercheurs ont lancé une idée folle, qui pouvait être considérée du domaine de l’impossible : se poser sur une comète pour analyser sa composition et en connaître l’origine. Il a fallu monter le projet d’un point de vue scientifique et ce à l’aide de la technologie datant des années ’80 et ’90. Puis il a fallu trouver le financement (1,3 milliard d’euros versé par 20 pays). J’imagine aisément qu’il a fallu convaincre qu’il était possible de lancer une sonde spatiale qui mettrait 10 ans à atteindre la comète choisie distante de 500 millions de kilomètres. Et j’imagine également qu’il a fallu relever tous les défis scientifiques qui pouvaient aboutir sur le fait qu’il n’était pas possible de trouver des solutions pour mener à bien le projet.
Et hier, le 12 novembre, le robot Philae s’est posé sur la comète « Tchouri ». Cela semble incroyable… et pourtant cela a été possible grâce à l’imagination, l’ingéniosité et la ténacité des scientifiques.


Cet exploit me rappelle une citation de Charles-Ferdinand Ramuz* qui invite justement à l’art du possible :

« La plupart des hommes manquent d’imagination. […] ils ne distinguent pas, au-delà de ce qui existe, le possible. Il faut leur faire voir le possible, et qu’il ne tient qu’à eux de le réaliser. »

Du coup cela m’a ramené à ma propre expérience : combien de fois je pense que ceci ou cela n’est pas possible de faire ou d’accomplir. Au contraire, il faut partir du « possible », c’est-à-dire mettre le poids de mes pensées et de mes actes du côté de l’infini principe qui gouverne l’univers afin de se trouver en adéquation avec « la loi du possible ». Cela permet de faire tomber les limites, les doutes qui peuvent m’assaillir quand justement j’accepte l’idée que ce n’est pas possible.

Les scientifiques viennent de le prouver pleinement, Philae a atterri à 1 km du point qui était prévu à l’origine. Alors à mon échelle je peux certainement cultiver de plus en plus l’art du possible !

* écrivain et poète suisse, in Besoin de grandeur



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Faire face aux alligators...

3/11/2014

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 « Je suis ici aujourd’hui pour traverser le marécage, et non pour combattre les alligators. »

Je viens de relever cette phrase dans un livre que je suis en train de lire car elle me touche profondément !

En effet, combien de fois j’oublie quel est mon but dans tel ou tel travail à accomplir ou encore le but que je me suis fixé pour la journée ou dans ma vie tout simplement. Et du coup, je me monopolise uniquement sur les difficultés rencontrées [les alligators], je râle, je bataille au lieu de lever la tête et de voir le but à atteindre. Je peux même me décourager et tout arrêter parce que  «l’alligator » semble être le plus fort et que je ne vois même plus la raison d’y faire face.

Prenons un exemple tout bête : faire un gâteau au chocolat pour notre belle-fille car elle adore le chocolat. Le but est simple et pas très compliqué. Je m’affaire dans la cuisine, je mélange la farine, le sucre, les œufs et zut alors plus de chocolat ! J’enlève mon tablier, je mets mes chaussures et un manteau. Je sors la voiture du garage et je parcours 20 kms aller-retour pour trouver une épicerie car j’habite en pleine campagne.

Parce que le but que je me suis fixé est de faire plaisir à ma belle-fille, rien ne m’arrête dans cet élan. Lors du constat du manque de chocolat, les « alligators » potentiels ne m’ont pas arrêtés : s’habiller, sortir la voiture du garage, faire 20 kms, quelle barbe alors ! Est-ce que cela vaut le coup ?

Bien sûr dans ce genre de situation on fait face tout naturellement aux difficultés/alligators sans se poser de question. Car à aucun moment nous ne perdons de vue le but à atteindre. Alors pourquoi ne pas le faire dans toutes les autres situations ? Comme dans la recherche d’un travail, monter une association avec des amis, jouer par cœur un morceau de piano, réaménager son appartement ou refaire son site Internet… Souvent quand un alligator montre alors son nez, pouf ! on se décourage et on arrête tout.

Mary Baker Eddy au contraire nous encourage quand elle écrit qu’elle : « … trouve le chemin moins ardu quand elle a toujours présent à la pensée son but élevé que lorsqu'elle compte les pas qu'elle fait en s'efforçant d'y arriver. Quand le but est désirable, l'expectative accélère nos progrès. La lutte pour la Vérité nous fortifie au lieu de nous affaiblir, nous repose au lieu de nous lasser. »*

*Science & Santé p.426

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2 + 2 = poisson

2/10/2014

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      2 + 2 = poisson
      3 + 3 = huit
      7 + 7 = triangle




Agaçant, non ? C’est illogique, incompréhensible, cela ne veut rien dire et finalement je laisse tomber… Et pourtant il est précisé, sous ce petit casse-tête partagé sur Facebook, que : « … les gens intelligents peuvent trouver. » Ah bon !
J’y retourne, je cogite et finalement je me dis qu’il y a forcément une solution car d’autres personnes ont visiblement trouvé la réponse.
Il faut certainement sortir de la logique du calcul – j’ai additionné les lettres des mots, croisé les résultats, mais en vain. Finalement je suis en train d’accepter qu’il puisse y avoir une autre logique. Et bingo ! C’est évident, il faut le comprendre sous l’angle du graphisme !
Ça y est, vous l’avez aussi ?
J’ai proposé ces 3 affirmations à deux de mes petites filles (14 et 11 ans). Dans un premier temps elles ont été unanimes pour dire qu’elles ne comprenaient rien. L’aînée a essayé puis a renoncé. J’ai insisté auprès de sa sœur qui en moins de 3 secondes a répondu : « Oh facile, tu retournes les deux 7 et ça fait un triangle… », les 2 autres affirmations suivent la même logique…
Pourquoi avait-elle trouvé la réponse si rapidement ?
Parce qu’un enfant élève naturellement sa pensée à un autre niveau, n’étant pas pétri de craintes et de certitudes bien ancrées.
Encore une leçon de vie ! Combien de fois je me trouve devant une situation qui semble justement ne pas ressembler à ce dont j’ai l’habitude et je laisse tomber. Par exemple, telle rencontre me désarçonne et je tourne les talons me privant certainement d’un partage enrichissant. Ou encore je pars bille en tête pour résoudre tel problème avec des idées bien arrêtées et c’est un échec complet.
Finalement 2 + 2 = poisson n’est-ce pas voir et raisonner au-delà d’une vision limitée grâce au lâcher prise de nos craintes et nos certitudes d’adulte, en élevant notre pensée à un niveau supérieur où aucune limite ne peut nous entraver.






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Matérialisme spirituel…

1/9/2014

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Deux termes auxquels je n’aurai jamais pensé pouvoir être mis côte à côte. Et pourtant c’est très pertinent.
Le matérialisme spirituel est un concept du tibétain Chögyam Trungpa, issu de son observation de la pratique spirituelle en Occident. Voici comment il le définit, je le cite : « … nous pouvons nous illusionner en pensant que nous nous développons spirituellement, alors qu’en fait nous usons de techniques spirituelles pour renforcer notre ego. Cette distorsion fondamentale mérite le nom de matérialisme spirituel. »*


Nous vivons dans une société qui nous incite à trouver plus de plaisir, plus de confort, plus de sécurité pour satisfaire notre ego afin de se sentir bien, maintenant, dans un environnement matériel. Si nous n’y prenons pas garde nous pouvons utiliser la spiritualité comme un moyen également pour trouver plus de confort, plus de paix, plus de santé mais d’un point de vue uniquement matériel.
Par exemple, au lieu d’utiliser des anxiolytiques pour chasser le stress ou l’angoisse on peut se tourner vers la pratique de la méditation afin de trouver une certaine sérénité. On adopte une posture corporelle, on répète des phrases ou on se concentre sur des concepts spirituels pour nous aider à chasser le trouble. On utilise la méditation comme une technique pour améliorer un corps stressé en un corps plus détendu. On reste alors au niveau de l’ego, c’est-à-dire d’une vision matérielle de la vie : je me débarrasse d’un corps matériel stressé au profit d’un corps matériel en paix.
Au contraire la véritable spiritualité affirme la totalité de l’Esprit ce qui permet de nous détourner résolument de la matérialité. Pour cela il nous faut nier catégoriquement que la matière soit la base de la vie. L’Esprit est à la matière ce que la lumière est à l’obscurité. Plus on prend conscience que l’Esprit est Tout-puissant, tout pouvoir, le seul pouvoir, plus la compréhension de cette vérité puissante insuffle un effet guérisseur à la prière et nous permet de grandir spirituellement au-delà… d’un matérialisme spirituel !

* Pratique de la voie tibétaine, Au-delà du matérialisme spirituel, Chögyam Trungpa, Éditions du Seuil





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Le pouvoir de la pensée

24/6/2014

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Masaru Emoto a démontré la grande sensibilité de l'eau à l'énergie émise par la pensée...

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Quel âge a notre corps ?

11/6/2014

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Apparemment pas celui que l'on pense avoir !

En effet, une équipe de chercheurs suédois a réussi à calculer la durée de vie de nos cellules. Ainsi notre foie repousse tout seul en moins d’une semaine, nos globules rouges se régénèrent en 120 jours, notre peau en 1 mois et demi et les os en 4 mois. Notre corps est ainsi en état de renouvellement permanent, on peut dire qu’il est remis à neuf plusieurs fois au cours de notre vie.
Logiquement nous aurions aucune raison de vieillir… l’immense majorité de nos cellules et de nos organes sont plus jeunes que nous !

Les chercheurs essaient de comprendre le processus du vieillissement mais cela reste pour le moment très mystérieux et fait l’objet de nombreuses théories et spéculations.

L’histoire d’une anglaise, publiée dans la revue scientifique médicale britannique The Lancet, pourrait apporter un élément de réponse à cette question. Je cite :

« Ayant eu un chagrin d'amour dans sa jeunesse, elle devint folle et perdit toute notion de temps. Croyant qu'elle vivait encore à l'heure où elle avait été séparée de celui qu'elle aimait, ne tenant aucun compte des années, elle restait tous les jours à la fenêtre, guettant l'arrivée de son fiancé. Grâce à cet état mental elle conserva sa jeunesse. N'ayant pas conscience du temps, elle ne vieillissait littéralement pas. Des voyageurs américains la virent lorsqu'elle avait soixante-quatorze ans et la prirent pour une jeune fille. Elle ne portait sur le visage aucune empreinte de soucis, elle n'avait pas de rides et ses cheveux n'avaient pas blanchi, mais ses joues et son front respiraient la jeunesse. Lorsqu'on demandait à ceux qui ignoraient son histoire de deviner son âge, ils répondaient qu'elle ne devait pas avoir vingt ans. […] Les années ne l'avaient pas vieillie parce qu'elle n'avait eu aucune connaissance du temps qui s'écoulait et n'avait pas pensé qu'elle vieillissait. Parce qu'elle croyait à sa constante jeunesse, son corps manifestait l'influence d'une telle croyance. Elle ne pouvait vieillir alors qu'elle se croyait jeune, car l'état mental régissait l'état physique. »*

L’état mental régit l’état physique ! Nous en faisons tous l’expérience mais nous pouvons certainement en être encore plus conscients en faisant sciemment le tri dans nos croyances.

* Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy p. 245





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Oui, c'est possible !

8/5/2014

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Au dedans de toi est la source du bien, une source qui peut toujours jaillir, si tu creuses toujours.
Marc Aurèle



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Le pouvoir de la prière…

29/4/2014

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 ... a été vécue par une ex-championne olympique et cela a profondément transformé sa vie.

Voici son expérience* :
Catherine Garceau, médaillée olympique en natation synchronisée en 2000 à Sydney, est danseuse dans une production aquatique à Las Vegas.


Lors d’une excursion dans le désert du Grand Canyon, elle se retrouve coincée sur une corniche face à une falaise tombant à pic. Elle appelle désespérément à l’aide, essaie d’escalader la paroi rocheuse mais en vain. Finalement elle va passer une journée et une nuit dans cette situation angoissante. Elle a emporté avec elle son journal intime ainsi qu’un carnet de prières, ce qui l’encourage à prier et à faire le point sur sa vie.

Alors que sa confiance s’amenuise au fil des heures elle lance un dernier appel : « Dieu, si tu es réellement là, aide-moi à saisir le but de tout cela. »

Une voix lui répond : « Tu dois simplement croire en tes visions. Lorsque tu auras véritablement expérimenté et développé la foi, tu pourras écrire et enseigner en toute confiance. » Pour Catherine, il ne s’agit pas d’une voix intérieure mais « d’une conversation avec Dieu. »

Elle accepte alors cette épreuve comme pouvant renforcer sa foi. Elle comprend également que si elle parvient à se sortir de ce piège, elle sera capable d’envisager sa vie d’une manière plus positive.

Catherine découvre « ce sentiment, tout nouveau, de se savoir reliée et soutenue par plus grand que soi. »

Au lever du jour, la jeune femme lit à haute voix des prières avec « la ferme intention de capter toute forme d’aide. » Elle sent alors une énergie s’emparer d’elle. Les questions, les hésitations et la peur sont absentes. « Mes mains tremblaient sous la pulsion de l’énergie grandissante. Je me tenais debout, tremblante et en pleurs, laissant le pouvoir de cette invocation m’habiter pleinement. » Elle perçoit cette force la guider, escalade le mur et atteint le sommet dans un état de transe. « C’était tout simplement magique… j’étais comme une marionnette accrochée à des ficelles venues du ciel pour me faire progresser pas à pas. »

Aujourd’hui, Catherine est transformée. Animée de cette foi inébranlable qui lui donne confiance en la vie, elle a décidé de développer une expertise holistique dans le domaine du conseil alimentaire pour partager un peu de cette énergie bienfaisante découverte lors de cette expérience.

Oui, oui, oui, mille fois oui, nous pouvons ressentir cette énergie bienfaisante grâce à la prière ! Et pas uniquement lorsque l’on se trouve face à une paroi rocheuse infranchissable. Un problème, une situation non désirée finalement on se trouve face à un mur mental. La prière joue alors un rôle primordial.


J’aime beaucoup comment Catherine l’a expérimenté et rapporté :

1) Se savoir reliée et soutenue par plus grand que soi
2) Avoir la ferme intention de capter toute forme d’aide
3) Ressentir et se laisser faire par cette énergie


Ce sont vraiment les 3 points importants pour une prière efficace.




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* Nager hors de l'eau      

   Catherine Garceau                                                                                                                   
    Ed. Le Dauphin Blanc






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    Maud Fischer étudie et pratique la Science Chrétienne depuis de nombreuses années.

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